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Il y a quelques jours de cela, un patient me raconta sa journée qui avait été une vraie torture. Se sentant toujours aussi mal en début de soirée et sans perspective à sa portée, il se décida. Il s'installa dans le fauteuil de son bureau (car toujours sur son lieu de travail) et, sans autre forme de préparation, il ferma les yeux "en soufflant un bon coup". Il mis alors toute son attention, -comme je lui avait proposé une fois d'en faire l'exercice et l'expérience-, sur son mal être, à laisser à celui-ci prendre sa place.
Le transfert n’est pas l’apanage exclusif de la situation analytique mais en concerne bien d’autres dès le moment où deux personnes sont en présence et entrent en relation pour s’intéresser à la parole de l’autre.
Arguments
Les risques pour l’analyste dans certains cas difficiles c’est « d’être pris » selon la formule de Jean Clavreul, dans le contre-transfert, en termes de sensations d’agression ou de punition de la part du patient, de réactions dépressives voire de chute narcissique, avec la tentation donc plus globalement d’entrer dans la sphère réelle de ce qui se passe dans la cure ramenant celle-ci à un rapport duel tout à fait dommageable. En particulier, j’ai pu observer qu’à certaines occasions particulières liées à l’intensité de la détresse du sujet ou à l’impuissance de l’analyste, les deux pouvant trouver leur conjonction, on peut je crois être amené à différents écueils que je vais essayer de nommer un peu bien que tout cela ressorte du connu :
Conditions d'accès:
Posséder le niveau bac + 2 minimum et une solide culture générale;
Avoir effectuer un travail psychothérapeutique personnel ou en cours.
Public: professionnels de santé, travailleurs sociaux, personnes exerçants dans le champ de la retion d'aide, personnes en reconversion professionnelle et qui justifient d'un profond intérêt pour la relation à l'autre.
Et admission sur entretien(s) seulement.
Il n’y a pas de Sujets dans la science
A l’heure de notre actualité la plus récente où, plus que jamais, il est question de réduire le sujet parlant à sa génétique, « et donc » (car c’est le raisonnement qui est appliqué ici) à un comportement qui en manifesterait l’essence perverse, délinquante, ou meurtrière –comportement qui d’ailleurs devrait être endigué avant même qu’il ne fasse « gêne » pour un Autre, politique, notamment, qui ne se réclame que de lui-même. Et s’il est question de réduction du sujet dans le social, cela n’est pas sans conséquences sur le mode même d’accueil de ce dernier par ceux qui ont charge de cette fonction éventuelle.
J’ai essayé depuis le début de l’année de situer avec vous ce que l’on pouvait entendre par « clinique du réel » en faisant référence à plusieurs dimensions.
Je tenterai, pour notre dernière réunion de cette année d’Ateliers, de retraverser ces différentes dimensions avant de conclure sur une ouverture qui fera d’ailleurs prétexte à ce que je souhaiterai partager avec vous l’année prochaine.
Pour reprendre le mot d’Anne Juranville, « le désenchantement du sacré », cela nous porte vers une observation évidente, vers un constat, qu’effectivement dans notre civilisation en particulier, ce désenchantement est bien prégnant notamment dans ce que le sacré des religions monothéistes propose au sujet qui reste dans la déception, souvent incapable de trouver une issue à son mal être, à son manque à être.
Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans la communauté "Hypnoanalyse".
Désireux de partager, d'échanger et débattre sur la psychanalyse, sur les liens entre hypnose et psychanalyse ou d'hypnose clinique au sens strict avec d'autres praticiens, je vous invite à déposer vos commentaires concernant ces thèmes, et plus particulièrement sur votre expérience clinique et sur votre pratique et sur quelles bases théoriques elles s'appuient.
Lorqu'on entend parler de criminologie, on s'imagine bien souvent que ce champ de discipline ne prend sa source que dans un savoir "psycho-policier",
avec pour image d'Epinale, le tueur en séries à qui correspond une expertise essentiellement provovenant d'Outre-Atlantique.
C'est là oublier tout l'apport de la clinique du Sujet, et notamment de la clinique psychiatrique en ce que la psychanalyse va venir l'éclairer sous un angle que seul Freud et ses successeurs proposeront concernant le sujet criminel.