Une auto-hypnose comme une histoire zen
Il y a quelques jours de cela, un patient me raconta sa journée qui avait été une vraie torture. Se sentant toujours aussi mal en début de soirée et sans perspective à sa portée, il se décida. Il s'installa dans le fauteuil de son bureau (car toujours sur son lieu de travail) et, sans autre forme de préparation, il ferma les yeux "en soufflant un bon coup". Il mis alors toute son attention, -comme je lui avait proposé une fois d'en faire l'exercice et l'expérience-, sur son mal être, à laisser à celui-ci prendre sa place.